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Actualités du groupe

Chahine Capital La lettre de gestion
Mars 2025

10 mars 2025

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Chahine Capital

La lettre de gestion
Mars 2025

10 mars 2025

Comme chaque mois, retrouvez notre lettre de gestion où nous vous proposons une analyse macro-économique du marché, la présentation du comportement de nos fonds et leurs performances.

 

Retrouvez également en vidéo les actualités de notre gamme de fonds Digital Funds.

 

Les indices actions en Europe ont autant grimpé depuis le début de l’année que lors de l’exercice annuel précédent. Le rally boursier initié en septembre 2022, peu après l’invasion de l’Ukraine, se prolonge, et le gain sur les indices européens est de l’ordre de +50% depuis à peine plus de 2 ans. Nous entrons dans la 3ème phase de ce cycle boursier haussier. La première phase (septembre 2022 > octobre 2023) était celle du soulagement : l’économie mondiale se montrait bien plus résiliente qu’anticipé malgré une inflation à l’époque à deux chiffres. La deuxième phase (octobre 2023 > décembre 2024) a été la conséquence positive de la baisse rapide de l’inflation et de l’imminence d’un pivot monétaire accommodant par les banques centrales. La troisième phase qui a pris racine depuis le début de l’année est celle de la normalisation fondamentale des différents segments de la cote. C’est désormais le cas pour les grands indices européens qui viennent d’atteindre leur niveau de valorisation historique moyen. Au niveau des compartiments stylistiques, seul le segment « Value » présente actuellement une décote vis-à-vis de ses standards historiques, mais sa surperformance depuis le début de l’année, qui prolonge une tendance en place depuis novembre 2020 et la découverte des vaccins, vient progressivement normaliser la situation. À titre d’illustration, le secteur bancaire, qui représente une part importante de la « Value » reste encore le secteur européen le plus décoté par rapport à sa moyenne historique en dehors du secteur de l’énergie (PER actuel du STOXX Europe Banque 8.5x vs. 10.4x en moyenne depuis 2000), et ce en dépit de la forte performance du secteur en 2024 (+26% hors dividendes) et depuis le début de l’année (+23.5%).

Les indices américains après un bon mois de janvier ont baissé en février (MSCI USA NR -1.6%, MSCI USA Small NR -5.0%), et affichent désormais des performances depuis le début de l’année assez neutres (MSCI USA NR à +1.4% et MSCI USA Small NR à -1.5%), et une fois n’est pas coutume très en deçà des indices européens (MSCI Europe NR +10.3% depuis le début de l’année).

Les premiers pas de l’administration Trump semblent avoir jeté un trouble et cela a pesé sur le segment « croissance » de la cote ainsi que sur le compartiment des petites et moyennes valeurs. Les secteurs croissance services de communication (-6.6% en février), consommation discrétionnaire (-9.0%) et technologie (-1.7%) ont ainsi pesé, alors que les secteurs à dominante « Value » énergie (+3.7%), services aux collectivités (+1.5%) et finance (+0.6%) se sont bien comportés.

En dépit de publications trimestrielles de bonne facture, les investisseurs semblent en ce début d’année se détourner des grands indices américains, chers et très concentrés. Toutefois, nous continuons d’identifier des poches d’inefficience au sein du marché US, à même de bénéficier à notre approche active de la gestion. À titre d’illustration, alors que la valorisation du MSCI USA est surévalué de 35% par rapport aux standards historiques (PER de 21.7x vs. moyenne depuis 2005 de 16.1x), le segment des petites et moyennes valeurs présente lui une décote de -3.6% (PER MSCI USA Small 18.6x vs. moyenne historique de 19.3x).

Digital Stars Europe Acc présente sur le mois de février une hausse de +1.6%, contre +3.6% pour le MSCI Europe NR.

Le positionnement sectoriel et géographique du fonds demeure bien orienté sur le mois. Cependant, l’allocation toutes capitalisations du fonds a pesé en termes relatifs, car même si les small et mid caps (actuellement surpondérées) ont progressé de +4.6% depuis le début d’année, elles restent nettement en retrait du segment des grandes capitalisations sur le mois. Les rebalancements effectués en février ont été diversifiés, augmentant principalement les positions dans le secteur de la consommation discrétionnaire (luxe) et de la finance. On trouve dans les sortants surtout des valeurs des secteurs de l’industrie et des services de communication (médias et télécom). Digital Stars Europe est nettement surpondéré sur la finance (services financiers) et l’industrie. Le fonds est sous-pondéré dans la santé, les biens de consommation de base et la technologie. Le Royaume-Uni demeure le premier poids du fonds à 25.9%, devant l’Italie (première surpondération) à 16.2% et la Suisse à 10.3%. Avec un poids de 4.9%, la France reste le pays le plus sous-pondéré.

Digital Stars Continental Europe Acc termine le mois de février à +2.7%, contre +3.7% pour le MSCI Europe ex UK NR.

L’allocation sectorielle et géographique du fonds lui aura été favorable en février, mais la surpondération actuelle des petites et moyennes valeurs, a pesé en termes relatifs, car même si celles-ci ont progressé de +6.7% depuis le début d’année, elles sont restées en retrait des plus grosses capitalisations sur le mois. Les rebalancements effectués en février ont été diversifiés, augmentant principalement les positions dans la finance, la consommation discrétionnaire (luxe) et les matériaux. Parmi les sortants, on trouve essentiellement des valeurs des secteurs de l’industrie, de la santé et des services de communication. Digital Stars Continental Europe est surpondéré sur la finance, l’immobilier et l’industrie, et sous-pondéré dans la technologie, la consommation de base et la santé. L’Italie (première surpondération) est toujours le premier poids du fonds à 19.9%, devant la Suède qui progresse à 14.9% et la Suisse à 13.2%. Avec un poids de 7.6%, la France reste le pays le plus sous-pondéré.

Digital Stars Eurozone Acc a réalisé +0.4% au mois de février, contre +3.5% pour le MSCI EMU NR.

Le positionnement sectoriel du fonds s’est avéré bien orienté sur le mois. Cependant, l’allocation toutes capitalisations du fonds, qui surpondère actuellement les petites et moyennes valeurs, a pesé en termes relatifs, car même si les small et mid caps ont progressé de près de +2.9% sur le mois, elles restent en retrait du segment des grandes capitalisations. Les rebalancements effectués en février ont été diversifiés, augmentant les positions dans les secteurs de la consommation discrétionnaire et des médias. Parmi les sortants, on trouve essentiellement des valeurs des secteurs de la finance et de la santé. Le secteur de la consommation discrétionnaire est la principale surpondération du fonds, devant l’immobilier et la finance. Le fonds est sous-pondéré dans les secteurs des biens de consommation de base, de la technologie, des matériaux et de l’énergie. L’Allemagne devient la première pondération du fonds à 22.2%, suivie de l’Italie avec 21.8% et de la France à 20.0%. L’Italie demeure le pays le plus surpondéré, et la France le plus sous-pondéré.

Digital Stars Europe Smaller Companies Acc termine le mois de février à +0.9%, contre +0.6% pour le MSCI Europe Small Cap NR.

Le bon comportement du fonds en termes relatifs provient essentiellement de la bonne performance de titres de l’industrie (MilDef Group, Koninklijke Heijmans) et de la finance (BPER Banca, Banca Popolare di Sondrio). Les rebalancements effectués en février ont été marqués par l’augmentation des positions dans le secteur de la consommation discrétionnaire, de la finance et de la technologie. Parmi les sortants, on trouve essentiellement des valeurs des secteurs des biens de consommation de base et de l’industrie. Le portefeuille est maintenant principalement surpondéré dans la finance, la santé et l’industrie, et sous-pondéré dans l’immobilier et la technologie. Le Royaume-Uni reste le plus gros poids du portefeuille à 20.4%, devant la Suède à 15.9% et l’Italie à 14.0%.

Digital Stars US Equities Acc USD a terminé à -4.2% en février, contre -1.6% pour le MSCI USA NR et -5.0% pour le MSCI USA Small Cap NR.

Sur le marché américain, le mois de février a été défavorable pour les petites capitalisations. Malgré un bon positionnement du fonds (surpondéré sur les financières et l’immobilier, et sous-pondéré sur les médias) le fonds a souffert de son exposition all-cap et d’une correction sur certaines valeurs de la technologie ayant fortement surperformé ces derniers mois. Le rebalancement effectué en février a été assez diversifié, avec l’intégration de titres des secteurs de la finance et de l’industrie, et la sortie de titres des médias et de la technologie. Le fonds présente une forte surpondération dans la finance et l’industrie. Les secteurs les plus sous-pondérés restent les médias et la technologie.

 

Chahine Capital Le CAC 40 peut-il inscrire un nouveau record historique ? – Capital

26 février 2025

Chahine Capital

Le CAC 40 peut-il inscrire un nouveau record historique ? – Capital

26 février 2025

Lire l’article complet sur le site de capital.fr.

Le CAC 40 dispose encore d’un potentiel de hausse, puisqu’il devrait a priori pouvoir se hisser vers la zone de 8 500-9 000 points (inscrivant du coup un nouveau record historique). Et ce, selon l’analyse technique mais aussi d’après l’analyse financière, juge Chahine Capital.

Après une année 2024 compliquée en Bourse pour le CAC 40 aussi bien en absolu (chute de 2,1%) que par rapport aux grands indices actions européens (+18,9% pour le DAX allemand en 2024, FTSE MIB italien à +18,9%, l’Ibex espagnol à +19,4% et le Footsie britannique à +13,9% en euros), l’indice actions phare de la Bourse de Paris s’est apprécié de belle manière depuis fin novembre, lui permettant de s’approcher de son précédent record historique (8 259 points). «Le marché a donc pris à contrepied un sentiment général excessivement négatif il y a trois mois. Un constat habituel, en particulier quand le pessimisme est alimenté par l’agenda politique», relève Stéphane Levy, stratégiste et responsable de l’innovation chez Chahine Capital, interrogé par Capital.

L’élection de Donald Trump, «et ses conséquences potentiellement néfastes pour une économie européenne très dépendante des exportations, mais aussi le contexte politique instable en France ont logiquement pesé sur le sentiment des investisseurs et les cours de Bourse, mais beaucoup moins sur les fondamentaux et le cycle économique mondial», souligne l’expert. C’est la raison pour laquelle, le 16 octobre dernier, Chahine Capital recommandait de rester bien investi en Bourse en actions françaises (CAC 40, etc.) et européennes.

Le CAC 40 garde-t-il du potentiel, après un rattrapage aussi spectaculaire en seulement trois mois ?

Les actions sont une classe d’actifs de nature procyclique. Ainsi, les performances en Bourse «sont étroitement corrélées au cycle de croissance économique. Notre indicateur de momentum (jauge d’une dynamique, NDLR) économique européen, qui dispose de 12 mois d’avance sur l’économie réelle, accélère à nouveau et continue de signaler un environnement de nature procyclique en Europe, a priori favorable aux actions européennes et françaises (et donc au CAC 40)», fait valoir Stéphane Levy.

Le contexte pourrait rester porteur sur le CAC 40 «ces prochains mois, voire jusqu’à fin 2025»

Depuis 2003, le CAC 40 progresse en moyenne à un rythme annualisé de 10,3% dans un tel contexte, mais à l’inverse, il abandonne en moyenne 2,1% en rythme annualisé quand l’indicateur de momentum économique signale un environnement de contraction. Or, Chahine Capital continue de penser que le contexte favorable pourrait se maintenir lors des prochains mois, et peut-être même jusqu’à la fin de l’année 2025. Et ce, pour 3 raisons, juge Stéphane Levy.

Premièrement, la baisse des taux de la BCE devrait se poursuivre à un rythme soutenu. Entre 3 et 4 baisses de taux de 0,25% sont anticipées d’ici décembre 2025, ce qui permettrait de renouer avec une forte accommodation monétaire et le retour des taux directeurs à un niveau inférieur à celui de l’inflation. «N’oublions pas que cette fois-ci, les taux sont baissés pour une raison positive, la baisse de l’inflation. Cela tranche singulièrement avec les précédents historiques, quand les taux étaient baissés afin de soutenir un état en quasi-faillite ou un secteur financier exsangue, et cela commence à avoir des effets vertueux sur les indicateurs de conjoncture», fait valoir l’expert.

Deuxièmement, la baisse sensible de l’euro depuis l’été dernier est également un facteur de soutien du momentum économique européen. Fin septembre, l’euro cotait 1,12 dollar. Or, il se traite à l’heure où nous écrivons ces lignes en dessous de 1,05. Troisièmement, l’aspect géopolitique, «une fois n’est pas coutume, doit être considéré comme une opportunité et non un risque, ce n’est là encore pas si fréquent. Un éventuel accord de paix en Ukraine serait un fantastique catalyseur pour l’économie européenne», juge Stéphane Levy.

Quel est le potentiel de hausse de l’indice CAC 40 ?

Du point de vue des fondamentaux (analyse financière), la valorisation de l’indice CAC 40 est aujourd’hui supérieure à sa moyenne historique. Le PER à 12 mois prospectif (la capitalisation boursière rapportée aux profits attendus ces 12 prochains mois pour les sociétés cotées du CAC 40, jauge traditionnelle du degré de cherté des actions) s’établit à 15,5 fois, contre une moyenne depuis 2000 de 14 fois. «Cette surévaluation de 10% ne nous paraît pas excessive dans un contexte procyclique et de baisse des taux, mais limite le potentiel de hausse à court terme», estime l’expert.

En effet, selon lui, il paraît «compliqué de compter sur un “effet multiple”, c’est-à-dire une poursuite de la hausse des PER (une augmentation des niveaux de valorisation des actions en Bourse, NDLR), à la différence de certains segments du marché européen (les petites et moyennes valeurs, ou le compartiment Value – les sociétés cotées traditionnellement bon marché – qui demeurent historiquement décotées)», juge-t-il. Toutefois, avec une croissance anticipée des bénéfices de 11% par le consensus des analystes lors des 12 prochains mois (et des révisions orientées à la hausse), une hausse du CAC 40 comprise entre 5% et 10% dans les prochains mois, qui porterait la Bourse de Paris dans la zone de 8 500-9 000 points, permettrait de ramener son PER à un niveau inférieur à 15 fois.

Un scénario parfaitement cohérent avec le potentiel du CAC 40 selon l’analyse technique

Du point de vue de l’analyse technique (analyse graphique et mathématique de l’évolution des cours de Bourse), «une configuration récente en double creux (double bottom, configuration classique de retournement de tendance à la hausse, NDLR) suggère en effet un objectif minimum autour de 8 500 points, voire 9 000 points en excès (haut du canal rouge)», estime Stéphane Levy. Dans ces conditions, en cas de correction baissière à court terme sur le CAC 40, la zone de 7 800-8 000 pourrait être mise à profit afin de renforcer ou initier une position acheteuse sur le CAC 40, selon lui.

Lire l’article complet sur le site de capital.fr.

Chahine Capital Le style Value et les petites et moyennes valeurs européennes sont sous-évalués – L’Agefi

11 février 2025

Chahine Capital

Le style Value et les petites et moyennes valeurs européennes sont sous-évalués – L’Agefi

11 février 2025

Le style Value et les petites et moyennes valeurs européennes sont sous-évalués

Article de Stéphane Levy, Stratégiste et responsable de l’innovation chez Chahine Capital, pour L’Agefi.

L’année 2025 a démarré en fanfare pour les bourses européennes (MSCI Europe NR +6,5% en janvier). La baisse du mois de décembre a été vite oubliée et de nouveaux records ont été atteints en janvier par les grands indices européens. La revalorisation des indices a été telle qu’on ne peut désormais plus dire que le marché est décoté. Le ratio de cours sur bénéfices (PER) à 12 mois prospectif de l’indice MSCI Europe s’établit désormais à 14,1x soit le niveau historique moyen de valorisation observé depuis 2000, une première depuis trois ans et l’invasion de l’Ukraine.

Cette normalisation fondamentale des indices est un processus logique dans un contexte de pivot monétaire accommodant par les banques centrales et de croissance économique solide. Est-ce pour autant que le marché européen a abandonné tout potentiel ? Nous ne le pensons pas, et ce pour deux raisons.

Le positionnement cyclique reste encore expansif et favorable à la classe d’actifs actions. Notre indicateur de Momentum économique se maintient à un niveau élevé. Il continue, et ce depuis début 2023, de signaler un environnement procyclique propice à une surexposition stratégique à la classe d’actifs actions Europe. Alors que la croissance du PIB de la zone Euro devrait atteindre +0.8% en 2024, une inflexion positive est attendue pour 2025 (+1.0%) et 2026 (+1.2%).

Un environnement procyclique demeure en place

Par ailleurs, la baisse des taux que la BCE a initiée en juin dernier devrait se poursuivre avec la même intensité lors du premier semestre. Autant d’éléments qui pourraient justifier une valorisation au-dessus de la moyenne historique.

Enfin, il est important de rappeler que le contexte est à ce stade vertueux pour les valorisations. En effet, l’«effet temps» redevient porteur. La croissance attendue des bénéfices lors des douze prochains mois est de +8% pour l’indice MSCI Europe, ce qui signifie qu’à marché stable, le PER baisse de 0,1 point chaque mois. C’est d’autant plus vrai que le Momentum de révision des analystes financiers s’est récemment stabilisé et ne devrait pas être menacé dans les prochains mois en raison de la forte baisse récente de l’euro contre dollar. Virtuellement, le PER de l’indice européen serait inférieur à 13.5x à la fin du semestre si le marché devait se maintenir à son niveau actuel.

Des segments de marché à privilégier

Un regard plus granulaire sur les différents segments du marché européens permet d’identifier certaines inefficiences, à même de contribuer à la création de valeur relative pour les gestions actives en actions lors des prochains mois.

Une décote significative est observable sur les segments les moins chers du marché

On constate que l’intégralité des secteurs dont le PER est inférieur à celui du marché présente une décote par rapport aux standards historiques. Il s’agit essentiellement de secteurs à dominante stylistique Value, ce qui nous semble être une anomalie dans un contexte procyclique. A titre d’illustration, le secteur Banque affiche aujourd’hui un PER de 7,8x contre 10,4x en moyenne depuis 2000, et ce en dépit de la forte performance du secteur en 2024 (+26% hors dividendes, meilleur secteur européen de 2024).

Même constat pour le segment des «petites et moyennes valeurs», de nature procyclique en relatif et traditionnellement favorisé par l’accommodation monétaire, qui présente une décote de 10% par rapport à sa moyenne historique.